Messages Problématiques [Réserve]

Le colonel avait ordonnée aux soldats de mettre au arrêt les deux nouveaux venus.Les opérations se déroulait normalement et les deux prisonniers était interrogé.Tarkin était à bord d'un warthog qui retournait au campement de fortune quand il reçu une communication sur le canal privé du SRN:

"Colonel Tarkin, ici le Général Kol. Je vous demande de faire le nécessaire pour que cette mission dans sa globalité n'est jamais existé..."

Le temps passa des patrouillent disparaissait et la panique commença à gagner les troupes du CSNU.Le colonel Tarkin contacta le général Kol:

-Mon général conformément à vos ordres cette mission n'existe pas mais nous avons reçu la visites de deux personnes qui disent vous connaitre l'un d'eux est un mercenaire ce faisant appelé Nomade et l'autre dit qu'il est un ancien sergent des troupes de choc se nommant Wollf Darkside matricule Z-66 ayant déserté pour vous rejoindre à la brigade des loups...On fait quoi d'eux mon général?

Une épaisse couche de nuages brunâtres couvrait la forêt. Sous les ordres du Colonel Tarkin, le SPARTAN-094 explorait la forêt dans le but de s'assurer que la zone était sûre. Le Sergent-Chef Jeffrey était accompagné d'une petite escouade qui lui avait été assignée: Le Caporal Sean O'Connel, et deux autres Soldats de première Classe: Michael Lister et Frederic Keaton. L'escouade voyageait à bord d'un Warthog de modèle M831 pour passagers. Chacun d'eux portait un fusil d'assaut MA5B, sauf Jeff qui trimballait son fusil à pompes chétif.

- Franchement! Il n'y a rien ici. on perd notre temps. Les scanners n'ont signalé aucune forme de vie sur toute la planète. On ne va pas le contredire! marmonnait Michael.

- La ferme, Lister! Tu saura que le danger ne vient pas toujours de ce qui est vivant. grogna le Caporal O'Connell.

- Chut! souffla Jeff.

- Hé oh! On n'a plus droit de ramaner des hommes à l'ordres, maintenant?

- Silence, se contenta de répliquer Jeff en portant la main à son oreille.

Les marines se demandait ce qui avait bien pu alerter le Sergent. Mais une chose est sûre: quand un Spartan est en alerte, il vaut mieux en faire autant. Les deux Soldats de première classe assis à l'arrière braquèrent leurs armes en direction des fourrés de la forêt tropicale. Ils n'entendait rien d'autre que des sons naturels: cris d'oiseaux, ruisseaux, feuillage virevoltant au vent. Ils se demandèrent vraiment ce qui clochait.

- Dites, qu'est-ce qui...

- Plus un mot, Keaton! aboya le Caporal. Je n'entends rien, mais je sens... Une odeur de... Une odeur de cadavres... Mais ça empeste! C'est de pire en pire.

Un lourd silence pesa sur la scène. La planète semblait s'être arrêtée de tourner. Frederic rompit bêtement ce silence.

- Ça, ça peut s'expliquer. C'est la nouvelle eau de cologne de Mike qui sent comme ç... AAAH!

Des créatures dégageant une odeur nauséabonde bondirent hors des buissons et des arbres. Il en venait de partout. Ils ressemblaient à des Élites, mais leurs armures étaient en lambeaux et leurs cous étaient atrocement cassés vers l'arrière. Ils avaient une couleur semblable à des excréments. L'un d'eux saisit Fred et l'attira dans les buisson. Le soldat hurlait à mort. Il n'était plus visible, caché par la flore. Les trois autres humains tirèrent dans toutes les directions. Seul Jeff semblait avoir une cadence de tir acceptable. L'un des organismes cadavériques agrippa le pare-brise du Warthog et tenta de prendre le contrôle du véhicule. Le Spartan dégoupilla une grenade, la lui fourra dans la gueule et le balança aussi loin qu'il put. Il déplaça le bras de vitesse et posa le bied sur la pédalle d'accélération.

- Minute, Sergent! On peut pas abandonner Fred à ces monstres. Revenez!

Mais Jeff avait compris qu'il était déjà trop tard pour le combattant resté derrière. Il ignorait ce qu'il était exactement advenu de lui, mais savait qu'il ne pouvait plus rien avoir de vivant. Les branches d'arbres éclatèrent le pare-brise du Warthog et le pare-choc alla valser sur le sentier. Le Soldat à l'arrière hurlait le nom de son compagnon défunt et implorait le chauffeur de revenir en arrière. il avait visiblement perdu la boule face à ce cauchemar. Jeff déposa son arme et empoigna sa radio.

- Ici SPARTAN-B094. Ce message s'adresse à tous les pilotes du CSNU aux alentours de la base Delta. Ceci est un appel de détresse. Je répète: ceci est un appel de détresse. Est-ce que quelqu'un me reçoit?

Des parasites dominère la ligne.

- Ici SPARTAN-B094 de la compagnie B de la base Delta sous les ordres du Colonel Tarkin. Mon escouade a perdu un membre. Nous sommes trois passagers à une demi-heure de route au nord de la base Delta. Nous avons absolument besoin qu'un Pélican vienne nous rappatrier! Nous sommes submergés par un ennemi non-identifié. C'est un ennemi dangereux et notre Warthog est sérieusement endommagé. Nous ne pourrons pas atteindre la base avec cette passoire mobile. Il nous faut un Pélican pour nous rappatrier d'urgence! S'il vous plait, pilotes du CSNU, répondez!

Le Spartan continua ses appels de détresse pendant qu'il roulait. Les créatures puantes surgissaient de partout et tentèrent diverses manoeuvres d'abordage. Le Warthog fit une embardée et glissa le long d'une coulée de boue pour s'arrêter au bord d'une falaise rocailleuse.

-SORTEZ! cria Jeff.

Les tois hommes bondirent hors du véhicule et celui-ci fit une chute qui semblait infinie dans le sombre ravin.

Une colonne de fumée pestilentielle sortait du profond trou. Les nuages brunâtres abondaient. Ils semblaient étrangement liés à cette infestation de morts-vivants.
Et à ce gouffre qui s'offrait à eux.