Mission en solo (conséquence de l'Espace)

Randy arriva dans l'atmosphère terrestre, mais pas à la bonne vitesse, le pélican grinça de partout. Randy priait pour que Clara n'est rien et que le pélican tienne bon. Ce fut le cas. D'après le message de la général qu'il venait de recevoir, elle serait dans une villa non loin de sa cible à Miami. Il s'y rendit.
Une belle piste d'atterrissage l'attendait dans le jardin. Il s'identifia et se posa. Il suivit le petit chemin en pierre qui menait jusqu'à la grande maison. Il toqua à la porte et une ravissant jeune femme vint lui ouvrir.

-Ah ! Vous devez être Randy je suppose.

-Vous supposez bien, répondit-il avec un grand sourire.

Elle le fit rentrer afin de lui parler des détails de la mission.

Elle conduisit le pilote à l'étage dans un vaste bureau truffé d'outils de communications, de photos de Kol et du Loup accroché sur les murs, des plans et des rapports éparpillés sur les bureau. L'un des bureau est ranger méticuleusement et Méghane s'assoit sur l'un des fauteuils qui est placé devant celui-ci elle invite Randy à faire de même ce qu'il fait. Puis la jeune femme saisit un dossier portant un titre en caractère gras "Aurore Kol", la jeune femme fouille un moment et sort un plan et la photo d'une femme brune aux cheveux lisses, le visage pâle et des yeux verts émeraude qui donne un aspect envoutant.
La voix douce de la jeune femme entame alors le vif du sujet.

"-Pilote, voici votre cible. Aurore Kol, femme de Daru Kol, notre bureau qui s'occupe de la traque du Loup à juger utile d'assassiner sa femme en faisant bien comprendre que le CSNU en est l'auteur nous visons à faire comprendre à Kol que lorsque l'on veut jouer il faut en avoir les moyens. A chaque coup qu'il porte nous devons y répondre. Or son attaque sur le Support et Onyx sont trop conséquente pour laisser passer un tel comportement. La punition doit être exemplaire. A quelques kilomètres d'ici se situe le siège des entreprise Kol dans cette tour se situe un pent-house au neuvième étage. Votre cible est à l'intérieur, nous vous laissons le choix pour le mode et le type d'exécution du moment que la victime est abattu. Bien entendu aucune poursuites juridiques ne serra engager à votre égard. Vous rendez un grand servie à la traque du Loup en réalisant cette mission, dehors un pilote vous attend avec un Pélican à son bord vous aurez tout le matériel nécessaire à votre disposition. Bonne chance Pilote, au plaisir. Je sûre que nous nous reverrons."

N'ayant pas de question, la jeune femme ramène le Pilote à la porte d'entrée.

Randy était en route pour la résidence d'Aurore. Il était dans le pélican piloté par un homme de la général. Il s'était assuré à se qu'on emmène Clara à l'hôpital. Après le trajet, le pélican survola le gratte-ciel, et Randy s'y laissa tomber depuis le pélican. Il fit un signe de remerciement au pilote et enfila sa cagoule. Il prit sa mitraillette munie d'un silencieux puis entra par une bouche d'aération. Randy avançait petit à petit, doucement, silencieusement. Il suivait le plan pour arriver dans les appartements de Aurore Kol. Randy était toujours rongé par la haine et il était prêt à accomplir sa mission. Il sortit ensuite dans un angle non-couvert par les caméras. Un homme se dirigea vers lui, sûrement a cause de son uniforme de marine :

-Mais vous n'êtes pas de cet étage ? Qu'est ce que vous foutez la ?

Randy le menaça de sa mitraillette et l'emmena dans des toilettes. Une minute plus tard, il sortit avec une blouse et un badge avec écrit Bryan Kendrock dessus. Il pourrait se déplacer au 9 ème étage tranquillement.
Une fois arrivé devant la chambre de sa cible, il toqua, aucune réponse. Il entra donc doucement : la femme était sous sa douche. Il n'aimait pas faire irruption dans la vie privée d'autrui mais ceci était une urgence. Il rentra dans la salle de bain puis, se rendant compte qu'il n'avait pas pensé à la méthode d'exécution, il arracha son collier militaire qu'il avait autour du cou.
La femme lui tournait le dos, il avança sans bruit vers elle. Malheureusement elle se retourna et le vit, ou plutôt elle vit un jeune homme accroupi à la regarder d'un air plutôt étrange. Son premier réflexe fut évidemment de se cacher les seins et de se retourner en criant. Il courut, et lui glissa la corde métallique de son collier autour du cou.

-Tais toi ! Voilà je vais t'expliquer ce qu'il va se passer, tu va mourir, juste parce que ton mari est un énorme connard sans cœur, qui n'a jamais pensé qu'à sa gueule et tu va donc mourrir à cause de lui. Con, hein ?

-Pitié. J'ai de l'argent.

-Je n'est que faire de votre tune salement gagnée.

Puis Randy réfléchissait, les pires idées lui traversèrent l'esprit puis il retrouva peu à peu la raison.

*Mais bordel, qu'est ce que je fait là ?*

Puis l'image de tous les morts sur Onyx et dans l'espace à cause de Daru lui revinrent à l'esprit. Sa torture, le coma de Clara, tout lui revint. Enragé par la folie, il serra le coup de Aurore avec son médaillon. Elle suffoquait essayant d'attraper quelque chose invisible devant elle. Puis après plusieurs secondes d'agonie elle était morte. Randy, toujours animé par une rage profonde force à Aurore à avaler son médaillon "post-mortem". Son nom y figurait, c'était une sorte de signature.
Puis il trouva une lettre à moitié commencée sur le bureau. Il raya le peu écrit et écrit un message pour Daru :

"Cher Daru,

Je croyais en toi, je prenais exemple sur toi. Tu étais un grand tacticien, un mentor. Mais au moment ou tu as osé revêtir cette armure et commencer tes activités rebelles tu as détruit des années de service et d'honneur. Tu as dépassé les bornes. Crois moi je ne voulait pas en arriver là mais je ne compte pas te laisser faire, car tu tue beaucoup trop d'innocents pour une cause déjà perdue.

J'espère que tu retrouvera la raison et que tu re-rejoindras nos rangs rapidement.
Amicalement,
Randy."

Il sorti du bâtiment par ou il était rentré, confus. Le pilote passa au dessus du bâtiment pour le récupérer. Il fut déposé une nouvelle fois à la villa. Il sonna à la porte, Narm vint lui ouvrir.

-Ça y est, j'lai fait ..., dit il d'un air plutôt dégouté ..